Anticiper et prévenir les risques : retour en images sur un exercice de crise pour anticiper un risque de pollution accidentelle

Dans le cadre de sa politique de protection de la ressource en eau, les équipes du chantier de la bifurcation ont simulé le 18 juillet dernier, une fuite de gasoil lors de l’approvisionnement d’un engin de levage à proximité de la Touloubre.

Il s’agissait d’un exercice dont le scénario proposait une simulation d’une fuite de gasoil, à proximité du cours d’eau qui traverse le chantier ; cette opération avait pour objectif d’évaluer la capacité des équipes à gérer au mieux ce type d’événement.

L’exercice était suivi par Stéphane Escobar, Directeur Opérationnel Territorial A7 et les équipes du District de Provence, Chloé Legros de l’association Naturalia, en charge de contrôle extérieur Environnement pour le compte de VINCI Autoroutes, des responsables Environnement du Groupement en charge des travaux d’aménagement de la bifurcation A7/A54, et d’Alexandre Bouquet, Directeur Général Adjoint des Services Techniques Municipaux de la ville de Salon-de-Provence.

Le bilan, à chaud, réalisé après l’exercice a permis de confirmer la bonne connaissance et la maîtrise des procédures de la part de chaque intervenant. Le bilan de cette simulation est donc positif. D’autres exercices seront menés ultérieurement pour que les équipes soient prêtes à réagir vite pour préserver l’environnement en cas d’incident de ce type.

VINCI Autoroutes mobilisée pour la protection de la ressource en eau

Afin de préserver les cours d’eau et nappes phréatiques situés à proximité de l’autoroute, VINCI Autoroutes réalise de nombreux aménagements le long de son réseau. Ce type d’exercice vient compléter les dispositifs déjà mis en place par VINCI Autoroutes pour protéger la ressource en eau.

Pour rappel, sur ce chantier est prévu la création d’un réseau d’assainissement avec 5 bassins de protection de la ressource en eau qui permettront de collecter et traiter les eaux de pluie tombées sur la chaussée avant leur rejet dans le milieu naturel ainsi que des mesures de compensation des crues avec un gain de 2,5 hectares.

Par ailleurs, des analyses sont faites régulièrement afin de s’assurer de la qualité des eaux rejetées.